Evaluation finale du programme « Renforcer les capacités des partenaires et des communautés au sein des territoires afin de promouvoir une transition écologique juste »

     1 – Le programme et les acteurs impliqués 

  

               A – Présentation du programme :

Le présent programme Communautés Résilientes (CoRe) s’inscrit dans le cadre d’une convention de partenariat pluriannuelle (CPP). Le Secours Catholique – Caritas France et 23 partenaires terrain dans quatre régions (Afrique, Amérique latine, Asie, Moyen Orient) ainsi que 2 partenaires de recherche, visent à renforcer les capacités des communautés vulnérables et des partenaires pour renforcer leur pouvoir d’agir, concevoir ensemble et promouvoir une transition écologique juste et pour qu’ils y contribuent sur leurs territoires. Ce concept de transition écologique allie les dimensions sociales, environnementales, économiques, politiques, culturelles et spirituelles du développement. Le programme est une opportunité pour favoriser des réponses locales articulées à une problématique globale, pour analyser les facteurs de changement d’échelle, pour donner une visibilité régionale et internationale aux alternatives et pour définir et promouvoir un positionnement commun sur la transition écologique juste amenant à des changements systémiques et structurels.

Durée du programme : 1er octobre 2021 – 30 septembre 2025 ;

Coût total du programme : 12 489 380€

Participation de l’AFD : 6 840 000 €

Principaux partenaires du programme : 7 partenaires Afrique, 8 partenaires en Amérique latine, 7 partenaires    Asie et 1 partenaire au Moyen Orient ainsi que 2 partenaires de la recherche. (voir www.communautes-resilientes.org)

Bénéficiaires cibles :

Bénéficiaires directs (cumul des régions de mise en œuvre du programme CoRe :

– 25 Organisations partenaires et leur personnel et bénévoles
– 1910 Organisations publiques, privées et autorités locales (mairies, communes, structures administratives locales, services techniques déconcentrés des localités, établissements scolaires, paroisses, ONG, organisations locales : organisations paysannes, organisations socioprofessionnelles, organisations communales, organisations autochtones, groupements de femmes, etc.)  – – –  – 73 000 personnes membres des communautés vulnérables urbaines
– 111 000 personnes membres des communautés vulnérables rurales
– 500 personnes du réseau SCCF France

 

Bénéficiaires indirects (cumul des régions de mise en œuvre du programme CoRe) :

– 1 150 000 personnes membres des communautés vulnérables
– 187 000 personnes membres des communautés locales autres/non vulnérables
– 5 200 Organisations publiques et privées et autorités locales
– 60 000 Salariés et bénévoles (l’ensemble du réseau France)

 

                      B – Objectifs du programme

Objectif global : Soutenir les populations vulnérables et renforcer le pouvoir des acteurs de concevoir et promouvoir une transition écologique juste afin qu’ils y contribuent dans leurs territoires

Quatre axes stratégiques transversaux soutiennent l’objectif global et seront une grille de collecte de données sur les projets terrain qui serviront à alimenter la réflexion et ainsi définir la vision et l’expression de ce qu’est une transition écologique juste :

∙ Axe 1 : Les niveaux d’échelles/les enjeux de territoire ;
∙ Axe 2 : Les changements structurels et la modification des rapports de force ;
∙ Axe 3 : Le savoir, la compétence, la technicité et l’innovation ;
∙ Axe 4 : Le renforcement du pouvoir d’agir/ l’accompagnement des acteurs.

 

Indicateurs de ces 4 axes :

∙ Axe 1 : Une vision systémique de la transition écologique juste est promue de l’échelle locale à l’échelle internationale
∙ Axe 2 : % des partenaires impliqués portant des positionnements sur une vision de la transition écologique juste (cible 60%)
∙ Axe 3: Nombre de femmes et d’hommes bénéficiaires des projets soutenus via le programme CoRe à partir desquels sont extraits les éléments de conception d’une transition écologique juste (au moins 170 000)
Nombre de projets financés au bénéfice des sociétés civiles du Sud (cible 19)
Établissement d’un réseau actif de renforcement des capacités entre pairs (voir OS1 R2)
∙ Axe 4 : % des partenaires dont les capacités de promotion d’une transition écologique juste sont renforcées (cible 70%)

 

Voir les objectifs spécifiques en pièce jointe

 

Plus d’informations : https://www.communautes-resilientes.org

 

       2 – Evaluation 

 

                   A- Justification de l’évaluation :

Le programme s’achève le 30 septembre 2025. Une seconde phase est toutefois prévue et en cours de préparation pour soumission à notre principal soutien, l’Agence Française de Développement (AFD). Le rapport d’évaluation doit donc apporter, non seulement des conclusions sur l’analyse des résultats et des impacts de l’action, mais aussi identifier les forces et défis du programme et émettre des recommandations qui seront prises en considération pour la poursuite de l’action dans une prochaine phase.

Il a été pris le parti de centrer l’évaluation de ce programme complexe sur les deux enjeux suivants :

  • Le dispositif intégré de gouvernance / construction de la vision du programme en lien avec l’objectif global
  • Le pouvoir transformatif de deux projets de terrain ainsi qu’une dynamique régionale au regard des 4 axes stratégiques d’analyse

 

Ce sont en effet ces deux questions, qui nous semblent le plus à même d’interroger l’originalité du programme, les difficultés rencontrées, les réussites et des orientations à prendre pour une deuxième phase du programme.

Ainsi, l’évaluation ne regardera pas l’atteinte des 6 résultats à travers la stricte remontée des indicateurs d’activité et de résultats et de manière indépendante  (L’évaluateur pourra cependant avoir un regard critique sur la consolidation des dits indicateurs produite annuellement par l’équipe de coordination du programme, à partir des informations fournies par les partenaires).

Les deux grandes questions évaluatives renseigneront cependant indirectement sur les 6 résultats:

Voir Schéma  1 en pièce jointe

 

                   B- Questions de  référence des critères de l’évaluation :

Pour chacune des deux grandes questions évaluatives, il est proposé de décliner des questions de référence :

1/ Evaluation du dispositif intégré de gouvernance / construction de la vision du programme en vue de l’objectif global fixé

Pour rappel l’objectif global du programme est de soutenir les populations vulnérables et renforcer le pouvoir des acteurs de concevoir et promouvoir une transition écologique juste afin qu’ils y contribuent dans leurs territoires.

Pour servir cet objectif global, un dispositif intégré de gouvernance et de construction de la vision a été mis en place.

Voir Schéma 2 en pièce jointe 

Pertinence:

Le dispositif a-t-il permis d’adapter les activités aux diversités de contextes et enjeux locaux ?
Les modalités de gouvernance du programme sont-elles cohérentes avec les impacts et les effets escomptés ?
Le mode opératoire dans son ensemble était-il pertinent par rapport au type de programme mené et a-t-il permis de valoriser les compétences de chaque partenaire du programme?

Cohérence :

Dans quelle mesure l’objectif global de ce projet est-il aligné aux priorités de l’AFD et SCCF ?
Dans quelle mesure les partenaires du programme ont-ils pu s’approprier le programme et ses objectifs ? Y a-t-il un sentiment d’appartenance au programme ?

Efficacité :

Les ressources mobilisées sont-elles en adéquation avec les différentes entités mobilisées (partenaires terrain, partenaires de recherche) ?
Les instances de gouvernance ont-elles atteint les objectifs fixés ?

Efficience:

Le système de gouvernance et en particulier les processus de décision sont-ils adaptés à l’objectif global? Comment cette structure de gouvernance peut être améliorée?
L’ensemble du système de gouvernance du programme est-il pertinent pour assurer à la fois la circulation de différents types de savoirs et la participation des partenaires au programme?
Y a-t-il des facteurs et des limites internes qui ont affecté la mise en œuvre du programme, en termes de gouvernance ?
Y a-t-il des facteurs et des limites externes qui ont affecté la mise en œuvre du programme, en termes de contexte politique, socio-économique et sanitaire, ou autres imprévus ?
Le fonctionnement du programme a-t-il permis de répondre à ces facteurs de façon pertinente ?

Durabilité :

Dans quelle mesure l’implication et la participation des partenaires ont été assurées tant dans la planification que dans la mise en œuvre ?
Dans quelle mesure les partenaires ont pu s’approprier les espaces et outils proposés dans le programme ?

 

2/ Evaluation du pouvoir transformatif de deux projets de terrain ainsi qu’une dynamique régionale au regard des 4 axes stratégiques d’analyse

Deux projets de terrain ainsi qu’une dynamique régionale seront évalués à l’aune des quatre questions suivantes.

Nous suggérons les projets terrains au Sénégal et au Bangladesh et la dynamique régionale en Amérique latine (les consultants pourront faire une contre proposition qu’ils devront justifier). Ce choix final des projets et de la dynamique sera arrêté lors du cadrage avec le SCCF mais devra représenter au moins 3 grandes zones géographiques du programme.

 

Questions générales :

Les interventions ont-elles répondu aux besoins des différents bénéficiaires cibles, en particulier les peuples autochtones, les femmes et les jeunes ?

Axe 1 : Les niveaux d’échelles et les enjeux de territoire

Le projet (dynamique régionale) répond-t-il aux enjeux du territoire préalablement identifiés ?
L’échelle du projet / dynamique régionale est-elle cohérente avec les enjeux de territoire identifiés?
L’intervention a-t-elle collaboré avec les pouvoirs publics sur le territoire d’intervention et à différents niveaux?
Une collaboration avec d’autres territoires de même échelle dans une logique d’essaimage des expérimentations a-t-elle été mise en place? Avec quels effets?

Axe 2 : Les changements structurels et la modification des rapports de force

Le projet (dynamique régionale) a-t-il entraîné une modification des rapports de force entre acteurs du territoire? Cette modification a-t-elle été bénéficiaire pour les enjeux de transition écologique juste?
Le projet (dynamique régionale) a-t-il permis une modification des dynamiques d’alliances ou d’adversité entre différents acteurs du territoire ?
Le projet (dynamique régionale) a-t-il permis des changements structurels au niveau des politiques publiques affectant le territoire ?

Axe 3 : Le savoir, la compétence, la technicité et l’innovation

Dans ce projet (dynamique régionale) quels types de savoir ou connaissance ont été mobilisés pour faciliter la transition écologique juste ?
Des leviers de changements liés à des échanges d’expériences et de connaissances et qui facilitent la transition écologique ont-ils été identifiés ? Si oui, quels sont ces leviers ?
Dans quelle mesure les bénéficiaires du projet (dynamique régionale) ont-ils pu s’approprier ou utiliser ces échanges de connaissances pour construire une transition écologique juste ?

Axe 4 : Le renforcement du pouvoir d’agir et l’accompagnement des acteurs

Quels changements ont été induits par les méthodes participatives du projet qui concerne la transition écologique juste au sein des communautés ?
Quels changements dans les modes de vie (écologie, justice) des communautés sont observés à la suite de l’utilisation de méthodes participatives dans le projet ?
En quoi les échanges, rencontres (avec les communautés, nationaux, régionaux, internationaux) ont renforcé le pouvoir d’agir des bénéficiaires/communautés adressées ?
Quels sont les acteurs qui ont  plus particulièrement contribué à renforcer le pouvoir d’agir de ces communautés ?
 

Y a-t-il des expériences exceptionnelles qui devraient être mises en évidence, par exemple des histoires significatives de changement, des bonnes pratiques identifiées, des changements dans les politiques locales, etc. ?

 

 

                   C- Méthodologie et étapes, calendrier.

Voici quelques éléments sur les méthodes et les grandes étapes attendues de l’évaluation :

Phase 1. Préparation et documentation

▪ Réunion de cadrage
▪ Analyse de la documentation disponible : L’équipe de consultant.es procédera à un examen rigoureux des documents tels que la NIONG du projet, le cadre logique, les rapports d’avancement, les publications et comptes rendus d’activités, le matériel et documents sur différents sujets utilisés pour la mise en œuvre du projet (vidéos, site d’Internet du programme CoRe, newsletter, etc.).
▪ Préparation par l’équipe de consultant.es d’une note de cadrage de l’évaluation présentant la méthodologie adaptée, les objectifs, les questions, le plan de travail proposé, ainsi que les outils à utiliser pour l’évaluation (questionnaire, guides d’entretien, le cas échéant). Le cadrage de l’évaluation devra être partagé avec SCCF pour des commentaires.
▪ Une proposition pour le déroulement des missions : objectifs, entretiens avec les acteurs clés et bénéficiaires, sites visités, ….
▪ Les actions de cette évaluation seront réalisées en partie en mission et en partie à distance (vidéoconférence).
Durée estimée : 10 jours

Phase 2. Entretiens et mission de terrain

Cette évaluation sera réalisée en partie sur le terrain et en partie à distance (visioconférence).

▪ Entretiens avec les acteurs clés du programme: équipe de coordination du programme, responsables des partenaires et des dynamiques régionales, membres des différentes instances de gouvernance et acteurs du programme.
▪ Les missions doivent au minimum couvrir :

  • une évaluation d’une dynamique régionale (Amérique latine) du programme CoRe et de leurs effets au regard des résultats du programme et des 4 axes stratégiques d’analyse.
  • une évaluation de deux projets auprès des partenaires du Sénégal et du Bangladesh au regard des 4 axes stratégiques d’analyse.

En fonction des évolutions de contexte liées aux terrains proposés certains des entretiens pourront être réalisés à distance. Le ou la consultant.e devra davantage travailler avec des consultantes sur place pour minimiser le temps et les coûts des déplacements. Toutefois la phase de cadrage pourra amener à modifier les terrains selon la pertinence des contextes et méthodologies proposées. Il appartient aux évaluateurs ou évaluatrices de proposer le contenu de la mission.

Durée estimée : 20 jours

Phase 3. Rédaction et présentation des rapports

▪ Rédaction du rapport d’évaluation intermédiaire par l’équipe de consultant.es ;
▪ Commentaires des membres de coordination sur le programme.
▪ Rédaction et remise du rapport final
▪ Présentation du rapport final aux membres équipe de coordination du programme

 

Durée estimée : 15 jours

 

                        D- Documents ressources et sources d’informations (liste non exhaustive)

Cette évaluation sera menée sur la base de 3 grands piliers :

  • Les rapports de projet internes pays par pays
  • L’évaluation relationnelle interne
  • Le travail continu interne sur la grille d’analyse à travers les 4 axes transversaux (Echelle/territoire, Rapport de pouvoirs, Expertise/savoir-faire, Accompagnement/pouvoir d’agir).

Mais également des documents mis à disposition :

  • NIONG du programme
  • Les comptes rendus des rencontres régionales ainsi que des rencontres des différentes instances de gouvernance (Comité Stratégique, Assemblée des parties prenantes 1 et 2, Comité scientifique, travaux sur les 4 axes).
  • Le rapport global en fin de tranche 1(années 1 et 2) du programme ainsi que le rapport de l’année 3.
  • Documents produits dans le cadre du programme

             

                       E – Livrables attendus

L’équipe de consultant.e.s fournira les livrables suivants:

  • Une note de cadrage de l’évaluation de 15 pages maximum en français, décrivant l’approche/la méthodologie et l’exécution des programmes/le calendrier.
  • Un rapport préliminaire avec les observations et les recommandations en français, espagnol et anglais ;
  • Un rapport final en français, espagnol et anglais intégrant les commentaires/observations issus des échanges et discussions avec les partenaires du projet et l’équipe de coordination du programme (40 à 60 pages maximum hors annexes) + une synthèse de 5 pages maximum.
  • Tous les documents produits pour l’évaluation, y compris les copies papier des rapports et les données brutes sous Excel et Word sous forme électronique.

 

Le rapport final devra contenir les rubriques suivantes, sans s’y limiter :

▪ Page de couverture, table des matières et liste des acronymes
▪ Résumé (max. 2 pages) avec les constatations, observations et recommandations les plus importantes
(Un soin tout particulier sera apporté à cette partie)
▪ Introduction
▪ Objectifs
▪ Méthodologie
▪ Analyse et interprétation (y compris les tableaux/graphiques et le texte) – elle comprendra à la fois l’analyse du processus et l’analyse des résultats/impact (les six critères)
▪ Meilleures pratiques et leçons apprises
▪ Synthèse : Conclusions et recommandations
▪ Annexes comprenant des outils de collecte de données et des ensembles de données, études de cas, témoignages et images connexes pour étayer l’analyse

Dès la validation et réception du rapport final complet le rapport sera transmis à l’AFD par les soins du Secours Catholique.

 

                                F- Appel d’offres

Compte tenu des éléments ci-dessus, il est demandé aux consultant.es d’inclure dans leur offre de services des propositions détaillées sur la méthodologie qu’ils proposent de mettre en œuvre (étapes de l’évaluation, acteurs consultés, réunions et présentations collectives, méthodologie de collecte des données, documents produits). Les consultants proposeront également, dans leur offre de services, la répartition du nombre de jours de travail dans les différentes phases de l’évaluation (et pour chaque consultant). L’organisation de l’équipe de consultant.es devra être indiquée, lien entre le ou la consultant.e principal.e et les consultant.es en charge des analyses terrains (sachant que nous recommandons des consultants locaux pour limiter les déplacements et garantir la maîtrise du contexte local).

Les propositions techniques et financières devront inclure les éléments suivants :

– Synthèse de deux pages au maximum soulignant les points forts de la proposition
– Compréhension des lignes directrices de l’évaluation,
– Présentation approfondie du processus d’évaluation et de la méthode permettant d’atteindre les objectifs de l’évaluation,
– Plan de travail avec un calendrier et une répartition des tâches spécifiques par consultant.e,
– Proposition de budget, toutes taxes comprises, avec répartition détaillée, et montant en euros et taux de la TVA
– Composition de l’équipe avec les responsabilités spécifiques.
– le CV du ou de la consultant.e ou de l’équipe de consultant.es mobilisé.es (si une équipe est proposée, en précisant qui sera le ou la chef.fe de mission).
– Échantillons de travail : au moins un rapport réalisé dans le cadre d’une enquête/évaluation récente d’un projet de coopération au développement.

 

Profil recherché :

La consultation sera menée par un.e consultant.e externe dument enregistré ou un cabinet  , le profil recherché est le suivant :
–      Disposer d’une expérience d’au moins 10 ans en mission d’évaluation
–      Avoir des compétences particulières qui couvrent les secteurs de la transition écologique et des droits humains
–      Être apte à travailler dans un environnement multiculturel
–      Excellent niveau de français, anglais et d’espagnol parlé et écrit (possibilité de travailler avec des consultants locaux).
–      Une expérience dans les domaines de l’écologie, agroécologie et gouvernance des organisations serait un plus.

La décision finale sur les appels d’offres sera prise par le Secours Catholique.

 

Calendrier:

Publication de l’offre : 14 janvier 2025
Date limite de remise des offres : 7 février 2025
Sélection des candidatures et contractualisation : 17 février 2025
Début de la mission: 24 février 2025
Fin de la mission et remise du rapport final : 5 mai 2025

 

G- Budget et paiements

Il est demandé aux consultants de soumettre dans leur offre une proposition de budget détaillée, tenant compte de ces éléments et précisant le nombre de jours travaillés par consultant au total et dans les différentes étapes de l’évaluation : phase de préparation (examen des documents et briefings), phase de mission (collecte et analyse des données), phase de rédaction du rapport intermédiaire, phase de présentation collective et finalisation, selon la méthodologie et la procédure qu’ils ont proposé pour l’évaluation.

Il est demandé d’estimer également les coûts de traduction et les coûts de déplacement éventuels.

Le mode de paiement sera le suivant :

– Premier versement de 30 % sur à la signature du contrat
– Deuxième tranche de 20% sur présentation et approbation de la note de cadrage.
– Troisième tranche de 20% à la réception du rapport provisoire.
– Dernière tranche de 30 % après validation du rapport final.

Contacts de référence :

Les réponses à cet appel d’offres devront être soumises en français avant le 7 Février 2025 au responsable des missions externes au Secours Catholique, à : dept.personnelappuiexterne@secours-catholique.org et à Maria Jose Chanut maria-jose.chanut@secours-catholique.org

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